Ce mercredi, c’était la première apparition publique de Luis Enrique, l’entraîneur du FC Barcelone, depuis les différents événements qui ont bousculé le club en ces dernier jours (accrochage avec Lionel Messi notamment). Lucho a souhaité mettre fin à la polémique.

« Je suis confiant et motivé, en pensant que les choses vont s’améliorer. Je me concentre sur les choses que je peux contrôler. J’ai toujours la foi, et je la vois aussi dans mes joueurs.

Je n’ai aucun soucis personnel avec les joueurs. Je travaille pour que nous puissions atteindre nos objectifs de remporter des titres, et nous travaillons pour.

Nous sommes en course dans toutes les compétitions, et je suis optimiste pour la suite.

J’ai la même relation avec tous les joueurs de l’effectif depuis le début de la saison. Peut-être même qu’on se connaît mieux et que notre relation s’est améliorée avec le temps.

Je ne traite pas les joueurs de la même manière, ce serait une erreur. Je ne traite pas mes deux enfants pareil non plus. J’ai parlé, négocié avec des joueurs sur des demandes, et j’ai toujours respecté mes principes.

Je me sens soutenu autant par le club que par les joueurs. Je n’ai aucun doute à ce sujet. (…) Je dirige le navire comme je juge que je dois le faire. Mais ce que je ne vais pas faire, c’est confirmer ou démentir les supposées informations qui commencent à sortir. Il y en a tellement…

Je suis positif comme le premier jour, l’équipe a encore une marge de progression.
Le climat du vestiaire est positif. Nous aimerions qu’à l’extérieur cela soit aussi le cas.

Le limogeage d’Andoni Zubizarreta est une nouvelle triste qui m’affaiblit. C’est une personne préparée pour ce poste de directeur sportif

Je parle à tous les joueurs. J’ai eu des discussions avec tous, Messi, Neymar, Suarez, Masip…

Il y a des règles qu’il faut respecter, le groupe est au-dessus de l’individu. Dans la gestion du groupe, évidemment je prends compte de l’opinion des joueurs. J’ai parfois négocié, parlé, ou été permissif dans certaines situations et aussi exigeant quand il l’a fallu. »