Mondial des Clubs : Mascherano « La compétition marquera le reste de la saison »

Mondial des Clubs : Mascherano « La compétition marquera le reste de la saison »
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Alors que Javier Mascherano se trouve actuellement au Japon avec le FC Barcelone pour y disputer le Mondial des Clubs, l’Argentin a accordé une interview aux médias de son club. Il y a confié l’importance pour son équipe de remporter la compétition mondiale pour le reste de la saison.

« En Europe, le Mondial des clubs représente le cadeau pour avoir gagné la Ligue des Champions et nous savons à quel point il est difficile de la remporter. Un club comme le Barça a pris du temps pour gagner sa première Champions. Ces dernières années ont été magiques car nous en avons remportées plusieurs mais c’est très difficile. Pouvoir jouer le Mondial des Clubs c’est pouvoir couronner la saison dernière de la meilleure manière possible. J’espère que nous allons pouvoir le faire. Beaucoup pense que pour nous il s’agit d’une compétition mineure mais ce n’est pas le cas. Ils se trompent. Pour nous, c’est une compétition importante, qui transcende, qui marquera le reste de la saison.

Le Barça de 2011 et celui actuel ? Ils sont différents. C’est difficile de comparer les deux équipes. (…) Le Barça de Guardiola avait besoin de plus de contrôle du ballon pour générer des occasions et désormais nous comptons sur des joueurs si déterminants devant que peut-être nous n’avons pas autant besoin de possession pour s’en créer. C’est une caractéristique que nous avons toujours mais nous avons des joueurs plus déterminants devant. Lors de la finale du Mondial des Clubs contre Santos en 2011, le seul attaquant qui a joué était Messi. On se souvient de ce match pour le grand nombre de milieux de terrain qui ont joué.

River c’est ma maison. J’y suis arrivé à 15 ans et j’y ai été formé en tant que joueur et personne.

Si nous sommes toujours motivés pour gagner ? Gagner c’est comme une drogue. Tu veux ressentir à nouveau cette sensation. L’an passé fut une saison magnifique et cette année nous voulons en revivre une similaire. On en parle beaucoup. »

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